Grèce                                                                   2016

Connue pour sa mythologie, ses dieux et ses déesses, la Grèce regorge de trésors historiques. Envie de plages paradisiaques, de falaises abruptes, de jolies criques ou de grottes mystérieuses? Optez pour une des 600 îles plus diversifiées les unes que les autres! Plutôt attiré par l'aspect historique du berceau de la civilisation occidentale? Promenez-vous à Athènes et visitez le Parthénon et l'Acropole, des incontournables à voir! L'hospitalité de ses habitants, la richesse gastronomique et le climat méditerranéen ne sont que quelques raisons parmi tant d'autres pour vous convaincre d'ajouter la Grèce à votre itinéraire. Opa!

Extrait du journal de bord :

19 juillet : Départ à 6h50 direction station de métro Omonia pour prendre le bateau. L'île Angistri est superbe! Très peu touristique. On arrête au village où un petit bar se trouve. Je prends un café glacé et on s'informe pour trouver la plage Dragonera. La demoiselle du café nous dit que c'est à 15 minutes à pied environ. On décide d'y aller avec cette option. On passe dans le village très très calme! C'est très joli : les maisons blanches, les fleurs et les petites routes. On adore! Le chemin était finalement plus long qu'on nous avait dit : environ 40 minutes. Mais on en profite pour voir la vue sur les autres îles. L'île est pleine de conifères et leur vert est éclatant! Je ne m'attendais pas à ça.

Arrivées sur la plage, on constate les couleurs éclatantes de l'eau, de la végétation et des roches. L'effet est époustouflant! On décide de se gâter: 3 euros par lit soleil (comparativement à 21 en Italie). On se fait bronzer et on profite de la mer. Il fait beau : environ 25 degrés avec quelques nuages à l'occasion. Le vent souffle fort! Rafales à 30 km. On mange une salade grecque et un souvlaki pour dîner accompagnés d'une Corona au petit resto sur la plage.

Vers 16h, on part direction le village où le port se trouve. Le chemin est plus difficile (on monte plus et il fait plus chaud). À mi-chemin, on croise un cavalier (sans chandail?!) sur un étalon blanc. On croit rêver. Selon nous, il était très certainement une vision dûe à une insolation commune. Arrivées au village, on décide de marcher et de découvrir ce qu'on n'a pas encore vu d'Angistri. On voit l'école primaire, l'église et le cimetière. Ici, c'est inhabité presque  partout. On découvre un bar génial avec vue sur la mer. On s'installe sur un des divans et on prend un verre de vin en profitant de la vue. [...]